Aux mille et une poitrines
La mère de Luc:
A cette époque, j'avais un ami, Luc, avec qui, chaque jour, je me rendais au lycée, et chez qui je passais bien souvent mes jours de congés.
J'avais l'habitude chaque matin de passer prendre mon ami à son domicile, pour nous rendre ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude de traîner au lit et lorsque je me présentais à la porte de la maison où il habitait c'était toujours sa mère, Carole, qui venait m'ouvrir. Son père, routier de son état, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qu'a la fin de la semaine seulement. Ce jour là, il en profitait pour s'occuper de son fils, l'amenant généralement à la pèche pour la journée. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passé mon temps.
Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait extrêmement gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, mes cheveux bouclés ou, mais plus rarement sur la couleur de mes yeux, que j'avais extrêmement bleus. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir vert olive, qui lui arrivait au dessus des genoux.
A quarante-cinq ans, elle avait l'âge de ma propre mère, Carole était une très belle femme. De souche italienne, elle possédait de soyeux cheveux noirs qui lui descendaient jusqu'aux épaules, de grands yeux vert irisés mis en éclat par de longs cils, une grande bouche aux lèvres charnues. Et surtout le plus important pour l'adolescent que j'étais, elle possédait une poitrine impressionnante qui déformait le devant de son peignoir, attirant irrésistiblement mon regard concupiscent. Lorsqu'elle se retournait pour vaquer à quelques menus travaux elle m'offrait alors, sans s'en douter, le spectacle affolant de sa croupe adorablement rebondie. A cette époque là, je la comparais à une jeune actrice italienne, qui devait devenir la célèbre « Gina Lollobrigida ».
Chaque matin je m'arrangeais pour me présenter largement en avance chez Luc, afin d'avoir le bonheur de demeurer quelques instants seul avec sa mère, pour laquelle j'éprouvais au fil des jours, une véritable adoration. Dans ces moments privilégiés, Carole me parlait librement. Elle se confiait naturellement, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Je l'écoutais avec ravissement, fier d'être pris pour confident. Mais mon attention à ce qu'elle me confiait ne m'empêchait pas de profiter des moindres mouvements qu'elle faisait, pour tenter de distinguer par l'ouverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors d'un geste un peu plus brusque qu'elle faisait, son vêtement s'ouvrait assez suffisamment pour que je puisse entrevoir la naissance d'un sein rond et blanc : quelques fois, c'était une cuisse que je pouvais entrapercevoir pour mon plus grand bonheur. Dans ces moments là, je ne pouvais m'empêcher de m'imaginer que cette femme désirable devait être entièrement nue sous son peignoir, ce qui ne faisait qu'accentuer mon trouble.
Dans ces instants privilégiés je prenais un réel plaisir à découvrir fugacement les merveilleux appas de la séduisante mère de Luc. Mais il m'arrivait bien souvent que mon bas ventre s'orna d'une fâcheuse érection, qui déformait de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant une effroyable gêne.
Or un matin je me rendis compte que la mère de mon ami n'avait pas été sans s'apercevoir de mon trouble sexuel. Ses discrets, mais appuyés coups d'oil en direction de cette protubérance qui déformait ma braguette et qui m'embarrassait ne fit qu'accentuer mon trouble et mon embarras. Même si le regard qu'elle me lançait ensuite était plus amusé, qu'outré.
Pourtant, malgré mon innocence, je ne tardais pas à constater, avec un émoi certain, que plus les jours passaient et plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci s'ouvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment. C'est dans un état d'excitation extrême qu'ensuite je me rendais au lycée en compagnie du fils de celle qui avait mis le feu à mes sens. Mon assiduité aux différents cours fut fortement perturbée, m'attirant plusieurs réflexions de mes professeurs.
Devenu follement amoureux de la mère de mon ami, je m'empressais chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, de me rendre chez Luc, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore couché, soit sous la douche. Le cour battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Carole, espérant au fond de moi, d'avoir l'occasion de découvrir encore un peu plus des appas généreux de celle-ci.
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* *
Un matin, alors que selon l'habitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Luc faisant sa toilette dans la salle d'eau, Carole, au cours de la conversation que nous menions, vint à se plaindre qu'il fallait qu'elle fasse le lit de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantai de faire mon lit moi-même tous les jours.
C'est vrai ? s'exclama Carole. Tu es vraiment un garçon parfait, ce n'est pas comme Luc. . Tu ne veux pas m'aider à faire le lit de ton copain pendant que ce fainéant se prélasse encore dans son bain ?
Evidement que je le voulais. Espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer, je suivis Carole, le cour battant.
Placé chacun d'un côté du lit de Luc, nous nous escrimâmes à tendre draps et couverture. Plaisantant ou me félicitant, Carole se penchait en avant plus souvent qu'il n'était nécessaire, tirant le drap, puis le défroissant longuement de la main, ou bien retirant une poussière imaginaire. La gorge nouée, je profitais au maximum de l'affolant spectacle qu'elle m'offrait alors. Par l'ouverture généreuse de son peignoir je pouvais entrevoir ses gros seins blancs, qu'aucun soutien-gorge ne comprimait, et même parfois, une partie de ses mamelons brun foncés.
Si cette vue me ravissait au delà de tout, j'éprouvais quand même un terrible embarras au niveau du bas-ventre, mon sexe s'était raidi et avait largement doublé de volume, formant une protubérance fort disgracieuse sur le devant de mon pantalon. Comme je tachais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Carole surprit mon geste :
Eh bien, que t'arrive-t-il me lança-t-elle en riant. On dirait que tu as quelques ennuis. Ce n'est quand même pas moi qui te mets dans un tel état ?
Que pouvais-je répondre ? Ma timidité et surtout mon innocence m'empêchaient de profiter de l'occasion. Souriant de mon embarras, Carole m'entoura les épaules de son bras et à ma grande surprise déposa un baiser appuyer sur mon front moite. Puis sans un mot elle m'accompagna jusqu'à la cuisine où Luc nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir sur le pas de la porte, la mère de mon ami me tendit la main que je m'empressais de serrer, mais au moment de la lui lâcher, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :
Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrais prendre un café ensemble. Luc ne boit par de café, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir d'avoir un invité. Quand penses- tu ?
Certainement m'empressais-je de répondre.
Luc enchaîna en plaisantant :
Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.
Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela me ferait extrêmement plaisir.
Tu es gentil, me murmura Carole... N'écoute pas Luc. Viens que je te fasse la bise.
Dans un geste qu'elle voulait maternelle, Carole s'approcha de moi pour m'embrasser sur la joue gauche. J'étais aux anges. C'était le deuxième baiser que ma dulcinée m'offrait en une demi-heure. Pris d'un désir fou, inspiré par cette double bise, j'en profitais, le cour battant et la gorge nouée, pour me coller subtilement à cette merveilleuse femme, frottant avec mon bras ses énormes seins, que je trouvais étonnamment fermes. Il me sembla que Carole, non seulement ne tentait pas de se soustraire à ma perverse initiative, mais qu'au contraire, elle m'encourageait en appuyant significativement sa lourde poitrine contre mon bras.
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* *
Le lendemain matin, après une nuit fiévreuse, passée à interroger le réveil, je me présentais une demi-heure plus tôt que j'en avais l'habitude chez mon ami Luc, terriblement ému et le cour battant la chamade. A peine dans le hall d'entrée, l'odeur du café me caressa agréablement les narines. Carole qui m'avait accueillie dans son éternel peignoir, m'accompagna jusqu'à la cuisine où elle me pria de m'asseoir à la table :
Tu veux bien m'attendre quelques minutes ? me demanda-t-elle d'une voix suave.Je n'ai pas eu le temps de ranger ma chambre. Tu surveille la cafetière, s'il te plait.
Moi qui était si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, et à laquelle je n'avais cessé de penser toute la nuit, je ressentis une immense déception à l'idée de me retrouver seul.
Or la chambre de Carole se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que d'où je me trouvais j'avais une vue parfaite sur les activités de mon hôtesse. Cette dernière avait entrepris de plier du linge sans vraiment faire attention à moi, se contentant de me causer de loin. Par moment, suivant les mouvements qu'elle faisait son peignoir s'ouvrait d'une manière des plus indiscrète, me révélant deux cuisses blanches et charnues. Le cour battant à cent à l'heure, j'épiais les moindres gestes et déplacements de Carole. La vision même fugace de ses merveilleux seins perceptiblement dévoilés par le vêtement trop lâche me rendait malade d'excitation.
A un moment donné, Carole se présenta près de la porte de la chambre, soit à environ deux mètres de moi pour ramasser quelque chose sur le plancher. Pour cela, elle s'accroupit face à moi, les cuisses largement écartées, dans la position qu'une femme qui urine. Carole, la mère de mon meilleur ami m'offrait, sans s'en douter ?, la vision de son sexe extrêmement poilu qu'aucune culotte ne cachait. Dans mon slip, soudain trop étroit ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse l'en empêcher. Je commençai à avoir très chaud et je sentais mes joues me brûler. Je devais être rouge comme une tomate.
Son rangement enfin terminé, Carole se dirigea vers moi en me souriant, non sans replacer son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.
Voila, j'ai fini, me lança-t-elle. Tu ne t'es pas trop ennuyé, tout seul ?
Le sourire qu'elle m'accorda me sembla rempli de promesse.
Une fois le café servi dans les tasses, Carole s'installa à mes cotés devant la table, ce qui me permit, en tournant ma tête de son coté, de pouvoir la contempler toute entière. Comme elle portait sa tasse à sa bouche, les yeux dans le vague, je baissais mon regard en direction de ses cuisses dont la rondeur provoquait un écartement du peignoir, jusqu'à quelques centimètres de son entrejambe.
Oh, je suis étourdie ! s'exclama soudain Carole. J'ai oublié les cuillères et le sucre !...
Voulant attraper les couverts qui se trouvaient derrière nous sans se quitter sa chaise, elle étira le bras en direction des ustensiles. Dans ce geste, ses jambes suivirent le mouvement de son tronc et s'écartèrent largement l'une de l'autre. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui s'offrit alors à mon regard. Le peignoir s'étant de ce fait complètement ouvert au niveau du bas-ventre, j'eus sous les yeux le sexe abondamment poilu de la mère de mon ami.
Je sentis de nouveau mes joues et tout mon visage devenir cramoisi. Je demeurai sans voix, la bouche soudainement asséchée, incapable d'avaler ma salive. Surprenant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Carole me murmura d'une voix chaude :
Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?
Je n'osais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé plus particulièrement entre ses cuisses. Je n'osais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle n'avait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de l'épaisse touffe noir en forme de triangle et qui se perdait entre les deux cuisses bien en chair.
Je ne pensais pas qu'à mon âge je pouvais intéresser un jeune comme toi. Je dois avoir l'âge de ta mère, non ?
C'est le moment que choisit Luc pour sortir de la salle de bain, mettant un terme à cet instant d'une rare sensualité. Caroles referma vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant de son épaisse touffe. Mais avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :
Demain Luc doit aller à la pèche avec son père. Ils vont partirent vers cinq heure du matin, si tu n'as rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie. Tu peux même venir prendre ton café avec moi. Puis après tu feras ce que tu veux !! . Enfin si tes parents te l'autorise.
Je m'empressai pour répondre que j'étais d'accord et qu'il n'y aurait aucune interdiction de la part de mes parents. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui m'avait déjà tant offert et qui me faisait tellement fantasmer.
Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Carole d'un ton qui sonnait faux.
Non, non, demain je n'ai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.
Tu es un amour.
Je demeurais soudain pétrifié, car en me murmurant son compliment d'une voix pleine de douceur, Carole avait posé sa main sur ma cuisse droite ; si haut que ses doigts frôlèrent un court instant ma jeune virilité gonflée. L'apparition soudaine de Luc me tira de ma torpeur sensuelle. Je vidai promptement ma tasse, tandis que Carole retirait sa main de ma cuisse, non sans frôler délibérément l'énorme bosse qui déformait le devant de mon pantalon. Je me levai avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie où m'attendait déjà mon ami, priant le ciel que Luc ne s'aperçoive pas de l'inconvenante bosse qui ornait mon bas-ventre. Carole nous accompagna jusqu'à la porte. Alors que Luc plaçait ses livres dans son sac, tournant le dos à sa mère, je lançai un regard discret en direction de cette dernière. Celle-ci avec un sourire complice m'envoya un baiser du bout des lèvres. Ce simple geste d'affection me rempli le cour d'exaltation, exaltation qui se transforma en euphorie lorsque la mère de mon ami écarta légèrement les pans de son peignoir, m'offrant fugitivement une vue sur ses longues cuisse sculpturales à la jointure desquelles je pus discerner un peu de sa toison brune. Luc tournant le dos à sa mère ne s'aperçut de rien, alors que je me sentais rougir encore une fois à un point que mon ami s'exclama :
Tu es tout rouge ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
C'est le café qui m'a donné chaud je crois.
Cette réponse fit rire Carole qui me fixait avec insistance... Il était clair que pour m'avoir ainsi dévoilé volontairement la partie la plus intime de sa personne, la mère de mon camarade me promettait un lendemain des plus agréable.
*
* *
Le lendemain matin, après une nuit passée à faire des rêves les plus fous, où Carole avait bien sur le rôle principal, je me réveillai, mon pyjama humide d'une éjaculation nocturne abondante. Après une toilette rapide mais consciencieuse, j'avalais rapidement une tasse de chocolat et me précipitais hors de la maison, à la grande stupéfaction de ma mère. A huit heures je me présentais chez mon ami Luc, que je savais être absent. Carole, vêtue d'une longue chemise de nuit qui la vêtait du cou jusqu'au cheville m'accueillit toute souriante.
Entre vite, me murmura-t-elle. Ce n'est pas la peine que les voisins sachent que tu es venu alors que je suis seule.
Refermant vivement la porte derrière moi, elle approcha son visage du mien pour m'embrasser sur la joue :
Ta mère n'as pas trouvé bizarre que tu sorte si tôt un jeudi ?
Non ... non, réussissais-je à répondre, tant ma gorge était nouée.
Surpris par la tenue de mon hôtesse qui la recouvrait pratiquement entièrement, je remarquais que la longue chemise de nuit se gonflait généreusement au niveau de son opulente poitrine. M'encerclant la taille de son bras nu, Carole me guida jusqu'à la cuisine :
Je suis contente que tu sois venu. Mais je ne t'attendais pas si tôt, le café n'est pas prêt.
Je m'excuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.
Tu es chou ! Tu ne vas pas repartir maintenant que tu es là. Non, non, reste. C'est moi qui n'ai pas pensé à préparer le café. mais on a tout notre temps... Assied-toi je vais te laisser seul quelques minutes, je vais me changer. Ce n'est pas correct de recevoir un jeune homme en chemise de nuit. Alors ne bouge pas, je reviens...
J'aurai aimé lui dire que pour moi cela n'avait aucune importance, bien au contraire, mais à cette époque là je n'avais pas encore suffisamment d'assurance et de culot. M'abandonnant sur un ultime baiser qui me réchauffa le cour, Carole se dirigea en direction de sa chambre. Fort de mon expérience de la veille je m'installais commodément afin de ne rien perdre des activités de mon hôtesse, surtout que cette dernière n'avait pas jugé utile de repousser la porte derrière elle. Un côté de la chambre était caché par un mur et c'est dans cette encoignure que Carole se plaça pour se changer. Heureusement pour moi, face à ce recoin où s'était isolée la mère de mon ami, une armoire dotée d'un immense miroir me renvoyait les moindres gestes de mon hôtesse. Inconsciente (??) du spectacle par miroir interposé, qu'elle m'offrait Carole retira sa chemise de nuit et se trouva entièrement nue. Comme elle tournait le dos à l'armoire, je pus admirer à loisir sans qu'elle ne s'en doute ( ?) ses hanches, larges et en formes d'amphore grecque, et surtout ses fesses rondes et bien en chair, séparées l'une de l'autre par un long sillon mystérieux. Ses cuisses également étaient bien charnues. Ses jambes, tout en étant un peu fortes étaient très bien faites. Carole, dont j'étais de plus en plus amoureux possédait le bas des reins très cambrés, ce qui mettait en valeur la rondeur de ses fesses.
Devant ce spectacle follement excitant pour l'adolescent que j'étais, je ne tardais pas à me retrouver en proie à une érection monstrueuse, que mon pantalon ne pouvait cacher. J'avais déjà contemplé des filles nues sur des revues que l'on se passait sous le manteau au lycée. Mais ce n'était que des images statiques sur du papier de plus ou moins bonne qualité. Cela n'avait absolument rien à voir avec ce que je découvrais présentement. Sur ces revues érotiques, les modèles qui posaient dans des positions plus ou moins obscènes étaient en général de jeunes femmes aux corps souples et minces. Or ce que je pouvais admirer à quelques mètres de moi était le corps d'une femme « mure » avec certes ses rondeurs dues à l'âge, mais qui n'en avait que plus d'attrait pour le jeune homme que j'étais.
Ignorant complètement ma présence (ou feignant de l'ignorer), Carole prit le temps de plier sa chemise de nuit avant d'enfiler son classique peignoir. Pour cela elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir qui me refléta aussitôt l'intégrale nudité de ma sensuelle hôtesse. Immédiatement mon regard se fixa sur l'image de deux seins particulièrement imposant, aux bouts de étrangement foncés par rapport à la chair blanche des lourdes mamelles. Celles-ci du fait de leur volume tombaient mollement sur le torse étroit de la femme. Deux outres auxquelles je mourrai d'envie de m'y accrocher. Le ventre légèrement rebondi s'ornait d'un épais triangle de poils noirs, comme j'avais déjà pu le deviner les jours précédents. Un triangle dont la base remontait assez haut sur le bas ventre et dont la pointe se perdait entre les deux larges cuisses.
Je sentis tout mon visage s'irradier. Je sentais mon sang me monter à la tête et m'incendier les joues, mes battements de cour se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Jamais encore je n'avais contemplé une femme entièrement nue. Même si la mère de Luc avait à quelque chose près l'âge de ma propre mère, son corps m'excitait au plus point.
Lorsque elle sortit enfin de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir autour de sa taille, Carole s'aperçut immédiatement de mon émoi à mon visage qui devait être violet. D'ailleurs un rapide coup d'oil en direction de ma braguette la renseigna sur mon état. Me fixant avec un large sourire, elle me lança :
Bon, on va prendre un bon café. J'ai l'impression que tu en as rudement besoin.
...............
Tu sais, je te trouve très gentil de bien vouloir perdre ton temps avec moi, me distilla Carole au bout d'un moment de silence..
Mais pas du tout, parvins-je à articuler, la bouche sèche. Ca me fait vraiment plaisir d'être près de vous.
C'est vrai ?
Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir n'était pas complètement fermé. Aussi je ne me privais pas pour contempler ses deux grosses mamelles laiteuses. Sans se soucier de ce qu'elle me montrait, Carole prit son temps pour remplir les tasses pendant que les yeux collés sur ses seins je me régalais. Se rendant compte soudain de l'intérêt que je portais à sa fabuleuse poitrine, la mère de Luc me sourit et me demanda :
Tu as une petite amie ?
Non. Je ne connais aucune fille. Je. Je suis trop timide pour.
Ne t'en fait pas, un jour tu rencontreras une femme avec laquelle tu pourras apprendre comment faire avec les filles.
Vous avez raison, m'empressais-je de répondre, n'osant quand même lui proposer d'être cette femme.
Alors, elle déplaça sa chaise pour s'asseoir face à moi. Ses cuisses, qu'elle avait écartées, forcèrent le peignoir à s'ouvrir assez largement. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens.
Et mon fils Luc, a-t-il une petite amie ? M'interrogea-t-elle.
Heu, non. Nous avons des copines, mais sans plus.
Tu sais, me révéla-t-elle d'un ton bizarre, j'aimerais que Luc apprenne tout ce qu'un garçon doit savoir sur l'amour avec une femme plus âgée d'un âge. Un peu comme moi.
Tout en m'expliquant son point de vue sur l'initiation de son fils, je remarquais que Carole, dans un mouvement naturel croisait ou décroisait ses jambes dans un mouvement large, ce qui m'offrait une vision intégrale de son sexe qu'aucun sous-vêtement ne protégeait. Je pensais, innocemment que ce mouvement était dû au hasard, mais comme je dirigeais de mon regard dans la direction de ses cuisses, Carole les décroisa pour les recroiser, ainsi qu'elle venait de le faire, m'offrant avec une impudeur certaine son abondante pilosité.
Je commençais à vraiment avoir chaud tandis qu'au bas de mon ventre mon membre se gonflait outrageusement. Extrêmement troublé j'avais du mal à participer à la conversation. Ma bouche était étonnamment sèche. Je me sentais réellement mal à l'aise.
Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda soudain Carole, mettant ainsi un terme à mon émoi.
Avant que je puisse répondre, elle se leva pour aller chercher la confiserie promise. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l'espace était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Carole m'appuya sur les épaules de ses deux mains m'obligeant à me rasseoir :
Reste assis, me dit-elle. Je suis capable de passer. Tu trouves que je suis trop grosse ?
Comme elle tentait de se glisser derrière moi, une idée perverse germa dans mon esprit. Je laissais mon bras dépasser perfidement de la chaise sur laquelle j'étais assis, raccourcissant le passage déjà fort étroit. Lorsque Carole, malgré l'étroitesse de l'accès réussit à se glisser dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Une onde de désir me submergea. J'attendis le cour battant le retour de ma compagne. Lorsqu'elle revint enfin, le paquet de biscuit à la main, mon coude accrocha le bord de son peignoir, l'écartant largement. Dans le mouvement qu'elle fit pour éviter ce contact ( ?), Carole pivota sur elle-même ce qui produisit exactement le contraire. Mon coude se trouva fiché entre les deux cuisses chaudes et veloutées, la pointe enfoncée dans ses poils pubiens. Immédiatement je sentis un liquide chaud mouiller mon bras, alors que Carole s'immobilisait soudainement en poussant un curieux gémissement.
Le visage empourpré, les yeux étrangement brillants, la mère de Luc me fixa d'un air égaré. Je redoutais soudain de m'être mal conduit. Je regrettais d'avoir voulu forcer le destin. Mais alors que penaud je m'attendais à ce que Carole me chasse de sa maison, cette dernière lâcha la boite de biscuit qu'elle avait été chercher, me saisit la tête. Avant que je ne comprenne ce qui m'arrivait je sentis sa bouche brûlante se poser sur la mienne. J'avais le cour dans la gorge, sa langue douce et humide s'infiltra habilement entre mes lèvres, força le passage de mes dents pour s'enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment grosse et gluante m'envahit le palais, s'activant désespérément, me violant. D'abord surpris par ce baiser, inconnu pour moi, je me laissais faire, passif. Puis, bien que n'ayant jamais pratiqué ce genre d'exercice, je savais que je devais moi aussi participer à ce ballet lingual. Je lançais alors ma langue à la rencontre de celle de la femme, la caressant maladroitement.
Tu n'as jamais embrassé de filles ? Me demanda Carole dans un souffle.
Non. Avouais-je, penaud.
C'est vrai ?... Je suis la première ? Continua Carole en me fixant d'un air extasié.
Ou. oui.
Comme si cet aveu avait déclenché chez elle un désir incontrôlé, Carole se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Prenant un peu plus d'assurance, je tentais cette fois de m'appliquer en imitant les mouvements de l'organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, sous ces assauts, ma timidité s'évapora. J'osais alors avancer une main en direction des appas mammaires qui depuis quelques jours me faisaient tant fantasmer. Glissant mes doigts dans l'ouverture du peignoir je m'emparais d'un sein énormément gonflé, que j'entrepris de malaxer maladroitement sur toute sa surface. Je découvrais un plaisir extrême à pétrir cette chair molle et si douce au toucher, à soulever cette masse élastique pour la presser au creux de ma main. Au fil de mes tâtonnements, je découvris un téton dont la longueur et la dureté me surprirent. Jamais je n'avais imaginé que ce petit bout de chair ait pût avoir une telle fermeté. Le saisissant entre le pouce et l'index, je m'ingéniais à le pincer tout en le roulant sur lui-même. Etonné, j'entendis Carole pousser des petits gémissements.
Huumm. Doucement mon chéri. Caresse-les doucement.
Jamais encore je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que ma verge allait jaillir de mon slip soudain trop étroit. Je n'en continuais pas moins de triturer le sein volumineux, m'attardant plus particulièrement sur les mamelons gonflés.
Soudain, alors que accidentellement je venais de pincer plus fortement que je l'aurais voulu l'un des boutons de chair durci, Carole laissa échapper une petite plainte et avant que je comprenne ce qui se passait elle se jeta sur ma bouche pour m'embrasser avec une fougue qui me surprit. Tout en me fouillant presque rageusement l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Alors, avec presque autant de rage qu'elle en mettait à m'embrasser, elle entreprit de malaxer ma jeune virilité par-dessus le tissu de mon short. D'incontrôlables spasmes agitèrent mon bas-ventre.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
Tu as déjà vu une femme nue ?
Non, avouais-je confus.
C'est vrai ? Je suis la première ?
Ou.oui.
Mon trésor ! Regarde bien, je vais te montrer.
Me souriant délicieusement, la mère de mon ami fit deux pas en arrière et lentement, à la manière d'une strip-teaseuse elle repoussa son peignoir sur ses épaules, le laissant tomber à terre. Si je ne fus pas victime d'une attaque cardiaque devant le spectacle qui s'offrait à mon regard c'est que mon cour était solide. Me faisant face, Carole s'offrait dans toute sa nudité. Nudité d'une femme « mure », légèrement empâté, qui bien sur était loin des canons de la beauté, mais qui offrait à l'adolescent que j'étais un tableau terriblement excitant.
Se rendant compte de mon état d'ébahissement, Carole me sourit :
Je te plais, me demanda-t-elle ?... Tu me trouves jolie ?
Qu'aurais-je pût répondre devant pareil spectacle. Bien sur les seins opulents du fait de leur grosseur et de l'âge de leur propriétaire avaient tendance à s'avachir légèrement ; les hanches larges et évasées ressemblaient plus à ces vases grecques que l'on voit dans les musées, qu'à la Vénus de Milo que l'on peut admirer dans ces mêmes musées ; avec son ventre quelque peu rebondi la mère de mon ami aurait pût servir de modèle à Aristide Maillol, célèbre pour ses statues bien en chair. Mes yeux extasiés étaient loin de faire une quelconque comparaison. Pour moi qui découvrais la nudité féminine autrement que sur les pages de certaines revues je me sentais bizarrement en sueur. Ce qui en fait m'attirait particulièrement dans ce corps dénudé et d'où je ne pouvais détacher mes yeux, c'était ce triangle, formé par des centaines de bouclettes brunes, qui délimitait et masquait en même temps ce sexe mystérieux féminin. Je mourrai d'envie d'y plonger mes doits, de découvrir ce qui depuis le début du monde attirait tant les hommes. Mais comme j'esquissai un geste en direction de l'objet de mes désirs, Carole me stoppa. Ayant empaumé ses lourdes mamelles, elle les pressait sensuellement l'une contre :
Regarde comment caresser les seins d'une femme, me prévint-elle. Tu vois toujours en douceur. C'est très sensible les seins d'une femme !... Tu dois toujours te le rappeler. Tu pourras les embrasser. Tu pourras aussi sucer les bouts, tu pourras même les mordiller, mais délicatement.
Le spectacle de la mère de mon ami, se caressant les seins, joint aux conseils que celle-ci me donnait ne fit qu'empirer le désir qui me taraudait le bas-ventre depuis que j'étais arrivé. Presque machinalement je posai une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion à travers mon pantalon. Me fixant, les yeux brillants étrangement, Carole approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m'offrit une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.
Ça t'excite, me demanda-t-elle vicieusement ?... Tu as envie de moi ?... Regarde comme ma chatte à aussi envie de toi. Tu vois comme je suis mouillée, c'est que moi aussi j'ai envie de toi. J'ai envie que tu me fasses l'amour.
Alors pris subitement d'une ferveur païenne, je tombai à genoux aux pieds de la mère de Luc, dénudée.
Tu veux embrasser ma petite chatte ? Me demanda Carole, se trompant sur mon geste.
Je savais pour en avoir parler avec mes copains au lycée, notamment avec Luc que ce genre de baiser se pratiquait entre amants, mais n'ayant jamais embrassé une fille sur la bouche, je ne savais pas vraiment comment je devais m'y prendre pour embrasser ce sexe que la mère de mon ami m'offrait. Heureusement pour moi, Carole, aussi follement excitée que moi m'agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve extrêmement poilue.
Embrasse mon petit minou, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Je posais alors ma bouche contre les lèvres humides de ce sexe féminin tant espéré. Une odeur épicée me monta aux narines. C'était la première fois que je voyais une chatte de si près. Même si j'en avais si souvent rêvé, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m'y prendre. Heureusement pour moi, Carole comprenant certainement mon manque d'expérience me guida, prise par sa passion dévorante. M'agrippant par la nuque, elle appuy fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente :
Embrasse ma chatte, mon chéri, m'encouragea-t-elle d'un voix rauque. Tu sens comme je mouille.
Pour le sentir, je le sentais, mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançai à l'eau. Timidement d'abord, ayant peur de mal faire, je commençai à embrasser cette vulve ruisselante et béante, la couvrant de petits baisers appuyés.
Oui, c'est bien mon chéri, m'encouragea Carole. Lèche-là bien. Oui, c'est bien. Huumm.
Obéissant, je m'exécutai, tachant de faire de mon mieux. Je promenai sur toute la longueur de la longue fente toute suintante d'un jus chaud et au goût épicé.
C'est bien, continua à m'encourager mon initiatrice. Tu sens comme tu me fais mouiller. Enfonce ta langue à l'intérieur maintenant.
Puisqu'elle avait l'air d'aimer ce que je lui faisais, je m'enhardis et enfonçai ma langue comme elle me le demandait à l'intérieur de cette faille humide, l'enfonçant légèrement à l'intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Carole se mit à pousser des petits gémissements, en agitant son bas-ventre, m'écrasant le visage de sa vulve broussailleuse. Comme j'essayais de me dégager pour échapper à cet étouffement, je sentis les deux mains de la femme me saisir la tête pour l'immobiliser. Puis agitant son bas-ventre d'avant en arrière, Carole entreprit de frotter avec fougue sa fente contre ma bouche et mon menton.
Ahh comme c'est bon, gémissait la mère de mon ami. Aaahh tu me fais mouiller mon trésor. tu es un amour.
En effet, je ne tardai pas à m'apercevoir que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion. Sans que je ne puisse rien faire, tant la femme me maintenait solidement contre sa vulve, j'eus très vite la bouche empli d'un liquide brûlant, gluant, et assez salé. Maintenu comme je l'étais je fus bien obligé d'avaler cette liqueur qui sourdait des profondeurs du sexe féminin. D'abord inquiet quand au goût que pouvait bien avoir ce nectar, je finis par le savourer.
Au bout d'un long moment de cette danse du ventre, Carole cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra :
C'était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire. Tu m'as bien fait jouir. Tu t'en es rendu compte ?
Ben..
Je ne savais vraiment pas quoi répondre, ne sachant évidemment qu'elles étaient les réactions d'une femme prenant son pied. La bouche et le menton abondamment trempés par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je me réinstallais sur ma chaise, curieux de connaître la suite des événements.
Sans un mot, Carole pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe énorme, que je trouvais magnifique. Devant la fixité de mon regard, Carole me lança :
Il te plait mon cul ?... Regarde !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit d'admirer ses fesses évasées, son anus brun et les grandes lèvres de sa longue vulve luisante des sécrétions vaginales. Penchée en avant, le crâne effleurant presque le sol, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées, Carole lança ses deux mains entre ses cuisses afin d'écarter les bords ourlés de sa chatte broussailleuse. J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l'intérieur de sa vulve. Je mourai d'envie d'y enfoncer mes doigts maintenant que j'y avais enfoncer ma langue, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mes phalanges. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté le sexe féminin me paraissait immense.
- Tu n'as pas envie de me faire l'amour, me demanda soudain Carole ?... Tu ne veux pas enfoncer ta queue dans ma chatte ?... Regarde comme ta bite serait bien à l'intérieur de mon ventre t!...
N'attendant même pas ma réponse, qui de toute façon n'aurait pas été négative, Carole se redressa et me saisissant la main elle me tira jusqu'à sa chambre.
Viens, m'invita-t-elle d'une voix enrouée. J'ai trop envie de ta queue.
Debout l'un en face l'un de l'autre, à quelques centimètres du lit conjugal, Carole m'attira à elle pour m'embrasser avec une impatience passionnée. Ayant perdu toute timidité, j'en profitai pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les énormes fesses, les écartant largement l'une de l'autre. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Carole, accrochée à mon cou, commença à s'agiter contre mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre l'imposante bosse que faisait ma verge tendue.
Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain en se reculant, échappant ainsi à mes attouchements de plus en plus précis en direction de son anus. Montre moi ta bite.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut m'aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvai aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma verge se dressait orgueilleusement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles.
Sans un mot, Carole grimpa sur le lit ou habituellement son mari devait lui faire l'amour, et s'allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissais pas elle écarta largement ses grosses cuisses charnues, me dévoilant son sexe abondamment poilu.
Viens ! M'appela-t-elle. Viens entre mes jambes mon chéri. Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c'est très doux et chaud.
Tout en me parlant, elle avait écarté les longs poils qui me cachaient l'entré de son sanctuaire, et de ses deux mains elle ouvrit sa longue fente cramoisie. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, que je profitais pour caresser au passage, je pouvais contempler sa vulve béante. Je remarquais à la brillance des parois internes qu'elle était excessivement humide. A la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je découvrais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l'avoir vraiment vu.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m'offrait généreusement la mère de mon ami, je m'approchais de cette dernière avec ma bite douloureusement tendue. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Carole m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
Oui, mets-la moi. Enfonce ta queue dan ma petite chatte. regarde je l'ouvre bien pour que tu puisse entrer dans mon ventre. Viens mon chéri. Prend-moi. Baise-moi.
Je n'en croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Pensant sans doute que je n'arriverais pas à la pénétrer, Carole saisit ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle.
Vas-y !... Pousse !
Alors je me laissais aller et m'allongeai sur ce corps féminin en sueur, m'appuyant sur mes coudes. Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation. C'était la première fois que j'enfonçais mon membre viril dans le sexe d'une femme. J'en avais tellement rêvé. Durant quelques secondes, j'eus un peu honte de voir la mère de mon meilleur ami complètement nue sur son lit et moi aussi nu qu'elle, en train de la baiser. Cependant ce sentiment s'envola très vite, remplacé par un indicible contentement. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
Plus vite ! Gémit soudain Carole. Va plus vite mon chéri. Baise-moi bien à fond.
Puisqu'elle me le demandait, j'accélérai alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m'enfonçaient violemment dans la chatte de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Plus mes coups de reins se faisaient violent, plus ma compagne se cambrait en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s'accrocha à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses gros seins se trouvaient écrasés par mon torse.
J'étais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire l'amour à la mère de mon ami, j'étais enfin arrivé à mes fins. Carole était pour moi tout seul, toute nue dans mes bras, ma langue dans sa bouche, ma bite entre ses cuisses, bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait, s'offrait à mon membre viril. Ses mains me griffaient le crâne. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et sentais ma queue coulisser dans les chairs brûlantes, entrer et sortir de cette forêt de poils noirs. Carole avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents qu'elle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.
Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre. Vas-y baises-moi profondément. Défonce ma chatte, elle est toute à toi.
Elle soufflait comme un bouf, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. Au début, devant les marque évidentes de jouissance, je pensais que Carole me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver ; mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que mon initiatrice ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle m'offrait son intimité sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa chatte dégoulinait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit.
Subitement je sentis le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds.
Alors que mon éjaculation arrivait à sa fin, Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Je découvrai là, ce qu'était un véritable orgasme féminin. Ca dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Carole ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
C'était bon, tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
Carole se mit à rire :
Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
Oui, c'est la première fois.
Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Carole m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce n'était pas propre. Comprenant mon émoi, Carole tint à me rassurer :
Tu sais, en amour, rien n'est sale. Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certain l'appelle, sont des liquides savoureux. Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.
Je demeurais plutôt surpris de ce que je venais d'entendre. Evidemment, au lycée, certains de mes camarades avançaient, d'un air supérieur, que des femmes leur avaient fait des pipes et qu'elles avaient avalé leur sperme. Mais peu d'entre nous les avaient crus.
Cependant, au bas de mon ventre, la mère de Luc, joignant le geste à la parole, se mit à me sucer la bite avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas. D'habitude, lorsque je me branlais, le matin dans mon lit, il suffisait que je me fasse jouir et j'étais tranquille pour la journée. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Carole, voila que je mon sexe se durcissait de nouveau, dix minutes après qu'il eut déchargé sa réserve de sperme.
Profitant que ma sensuelle initiatrice était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer d'une bouche experte, je n'eus qu'à tendre le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Je les pétris avec ferveur, les malaxant, les écartant largement l'une de l'autre pour contempler le minuscule orifice brun qui s'y cachait. Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de m'épancher, l'envie me prit d'y coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Me contorsionnant habilement, je réussis à infiltrer mon visage entre les deux cuisses à la chair si douce. Le nez enfoui entre les opulentes fesses, je me mis alors à fouiller la vulve nacré, d'une langue maintenant habile. Je trouvais les lèvres vaginales étonnamment collantes et dégageant une odeur bizarre qui me rebuta quelque peu. Mais ne voulant pas montrer à ma compagne ma répulsion pour sa chatte dans laquelle j'avais déversé ma semence alors qu'elle-même me suçait la queue, je m'attaquai à son anus, petit oillet rose et plissé qui réagit aussitôt aux caresses de ma langue. Quelques minutes se passa ainsi, où nous nous léchâmes de concert, nous procurant un indicible plaisir. Soudain Carole abandonna ma verge frémissante pour me demander :
Tu aimes que je te suce la bite ?
J'adore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre d'autre.
Moi aussi, j'aime que tu me lèches le cul ! Ronronna-t-elle. C'est rudement bon !
Un moment passa, avant qu'elle reprenne la parole :
Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?
Je restais sans voix. C'était trop beau. La mère de mon meilleur ami venait de m'offrir ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire l'amour avec une vraie femme, pouvoir enfoncer son membre viril dans un sexe féminin. Et voila que cette même femme me demandait si je désirais l'enculer, comme on disait entre nous au lycée.
Devant mon silence, Carole continua :
Ça te ferais plaisir ?...
Oh oui, réussis-je à bégayer.
Attends-moi !
Étonné, je l'a vis se diriger vers la salle de bain. Elle en revint, tenant un tube à la main. S'installant de nouveau à mes cotés elle me précisa :
Ça aidera. C'est que tu es rudement bien monté pour ton âge.
Elle ouvrit le tube pour s'enduire la main d'une crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.
Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir.
Sous le prétexte de m'enduire le membre de cet onguent, Carole me branla d'un mouvement des plus suave, faisant grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et se couchant sur le ventre, lança ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.
A toi, me demanda-t-elle. Passe-moi de la crème dans mon petit trou.
Je n'en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt m'accueillait comme son fils, m'offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul légèrement poilu. La gorge sèche, j'approchai l'embout de l'orifice anal, et je pressai le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra l'anus relâché, avant de déborder de chaque coté du minuscule cratère.
Fais-la bien pénétrer à l'intérieur avec ton doigt, me conseilla Carole, m'offrant son cul dans une position des plus obscène.
Reposant le tube, j'étalai alors la crème à l'aide de mon majeur de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusqu'au centre du mini cratère de chair, s'y enfonça lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci s'ouvrait, s'écartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuai donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans le cul féminin, sans que cela ne m'ait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d'atteindre le volume de mon sexe bandé.
Oui, frotte bien, m'encouragea Carole en cambrant ses reins au maximum.
Puisqu'elle me le demandait avec une réelle insistance, j'activai mon doigt dans l'orifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que j'avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
Oh oui, c'est bon gémit Carole au bout d'un instant. Continu mon chéri. Branle-moi bien le cul. Ohhh oouuii . Ouiii.
Étonné qu'elle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, j'accélérai mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l'esprit. Accolant mon index à mon majeur, j'enfonçai mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j'y avais versé et les activai fébrilement.
Oh oui, c'est encore meilleure, grogna aussitôt Carole en lançant furieusement son derrière au devant de mes doigts. Viens maintenant m'exhorta-t-elle !... Je veux sentir ta queue dans mon cul !... Mets-la moi !
D'un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite qu'elle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur son oillet plissé, qui me semble extrêmement petit.
Là, tu y es, me prévint Carole d'une voix sourde. Va doucement, tu es si gros.
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les larges hanches de mon initiatrice, que la position rendait encore plus denses, je poussai pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l'introduction vaginale, qui s'était déroulée dans un glissement, l'orifice anal, malgré la lubrification auquel il avait été soumis, résista quelque peu à ma poussée, faisant ployer ma verge pourtant rigide. Carole poussa un petit gémissement, je la voyais agrippée des deux mais le polochon.
Oh comme tu es gros, gémit-elle. Vas-y pousse !... N'ai pas peur !...
Doutant du résultat, j'exerçai quand même une nouvelle pression, en tirant à moi Carole que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m'arrivait, je me retrouvai fiché jusqu'aux couilles dans le cul féminin qui venait de s'écarteler brusquement.
Oui, oui, ça y est grogna Carole. Ne bouge plus. Oooh c'est terrible, tu m'as défoncé le cul. Ne bouge pas, je t'en prie. Pas tout de suite.
Son anus était tellement serré que j'avais l'impression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à l'intérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémissait et poussait des petits cris de douleur. Je demeurai immobile, ivre de joie. J'enculai une femme. J'enculai cette femme qui m'avait tellement fait fantasmer. Quand je raconterais ça aux copains, j'allais tous les estomaquer.
Vas-y maintenant, me conseilla enfin Carole. Mais va doucement, j'ai l'impression que tu m'as déchiré le cul.
Je commençai alors à m'agiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Carole avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements
Oui, vas-y mon chéri. Encule-moi bien à fond. Ça devient bon !... Huumm.
Maintenant ma sensuelle partenaire par les hanches, qu'elle avait extraordinairement rondes et douces, j'avais une vue incroyable sur son merveilleux cul que depuis des mois je désirais. Sa raie des fesses était assez large et remplie de poils noirs. Je voyais ma bite entrer et sortir de l'anus affreusement dilaté par celle-ci. J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m'encourageaient à continuer. J'accélérai peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Carole poussait de tels cris, que je me demandais si elle éprouvait du plaisir ou de la douleur.
Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir je lâchai ma semence par saccades dans les intestins de la mère de Luc. J'eus l'impression de me vider entièrement, tant l'éjaculation dura. Carole se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille. Etant penché sur elle, je lui caressai l'intérieur des cuisses que je trouvai abondamment mouillées, tant ma complice avait joui.
Epuisé par cet acte intime, je retirai ma verge extrêmement sensible de l'anus souillé. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l'endroit où je l'avais plongé.
Se redressant, Carole me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
Tu sais, c'est la première fois que je jouis autant de ce coté. Et grâce à toi... J'ai eu un peu mal au début car tu es monté comme un âne, mais par la suite j'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir... Je n'aurais jamais songé que l'on puisse éprouver autant de plaisir de ce coté là. C'est toi qui me l'as fait découvrir.
Devant ses aveux, je me sentais gêné mais très fier d'avoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée.
Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire l'amour en s'embrassant. J'étais tombé amoureux de la mère de mon ami, d'une femme qui avait l'âge de ma propre mère. Tout le restant de la journée, Carole s'ingénia à me faire bander, afin que je la prenne d'un coté et de l'autre, me forçant à changer d'orifice suivant son bon plaisir.
Cette journée a été le début d'une relation qui dura quatre ans. Elle fut la femme de ma vie, et même aujourd'hui, à 52 ans, je pense encore à cette femme qui m'a tant donné. Sa personnalité, son corps m'ont marquaient pour la vie. Aujourd'hui vivant en Amérique du nord, j'ai connu plusieurs femmes avec le sexe rasé, et je dois dire que le sexe de Carole très poilu m'excitait bien plus, je suis devenu, grâce à elle, un amateur de sexe poilu, c'est à dire un sexe naturel.. Je suis devenu un collectionneur de photos de sexes poilus pour mon grand bonheur.
Je vous en prie, si cette histoire vous plait mettez des commentaires...
Merci d avance,
Celui qui dépucela LA MERE DE LUC (le créateur de ce bog)!!!!
Lire les commentaires textes
c'est tellement bien raconté que j'ai jouit tout le long du récit,mais j'aurai voulu une photo de carole pour l'admirer car c'est le genre qui vous enmène au 7 ciel
bisous partout
salut j'ai lu ton histoire, cela m'a completement mis hors de moi
moi aussi j'ai u une experience comme la tienne quand j'avait 17 ans mais contrerement a toi ce 'était pas la premiere fois, en plus je l'ai fait avec deux femmes mures qui etaient les amis de ma mère... elles venaient passé l'été chez nous elle ont forgées mon éducation sexuelle. jusqu'a aujourd'hui je pense toujours a ces instant fabuleux que je passaient a leur faire l'amour bref aujourd'hui je suis marier mais des fois je vais dans des endroit ou il y a des femmes mures Charnues pour les seduirent et leur faire l'amour.......
salut
Bien belle histoire,comme quoi l'écriture est (quand c'est bien écrit comme ça)bien mieux que les images et les films... évidemment ça ne vaudras jamais la réalité,heureusement d'ailleur^^
elle dechire ton histoire je la petere bien la mére de luc moi aussi
super histoire j'ai vecu presque la même.Que de bon moment que je n'oublierai jamais
Vraiment bien écrit. Je ne pensais pas ressentir autant de plaisir devant de telles lectures.Continuez !